dimanche 23 septembre 2012

Education et spiritualité ; podcast et pédagogie



Voici une très belle émission de radio : Frédéric Lenoir, animateur des
Racines du ciel (sur France-Culture), y parle éducation et spiritualité
avec le philosophe et thérapeute Denis Marquet . Cette émission est accessible, et téléchargeable, sur notre plateforme Claroline.

 http://saintstan.be/enseignement/claroline/backends/download.php?url=L0VkdWNhdGlvbl9ldF9zcGlyaXR1YWxpdOlfLV9SYWNpbmVzX2R1X0NpZWwubXAz&cidReset=true&cidReq=VLV

lundi 12 septembre 2011

CHANTAL EDEN INTERNATIONAL SL

COMMUNIQUE DE PRESSE
« CHANTAL EDEN INTERNATIONAL SL »
Présente :
Chantal Eden « en concert »
Sur le thème :
« Le sens de la vie », spectacle live intimiste, Guitare-voix,
reprenant ses succès connus ainsi que de nouveaux titres,
dont « le jour d'après »,
chanson dont le thème est « le rassemblement des peuples »...
Chantal Eden,est une artiste francophone qui est restée au début de sa carrière durant 5 mois consécutifs dans le « TIP TOP 50 » belge, avec un titre intitulé : La Vigne de mon Père.
Son deuxième album a également été maintenu dans ce même prestigieux classement pendant deux mois, pour une chanson engagée nommée « Toi trop petit ». Elle a, à son actif 7 albums, et un dvd réalisé en 2004, en live, au Trocadéro de Liège. Elle a écrit aussi un livre intitulé « le Monde a besoin de vous » et également une série de contes pour enfants intitulés« Le Voyage de Giorgio » dont le premier tome est sorti en 2009
Après 3 ans d’absence sur la scène, elle nous revient avec dans ses bagages, la suite logique des messages de ses chansons, une traduction toujours plus explicite de ses pensées humanistes.
Les textes de ses chansons ont toujours été empreints d’idéalisme et d'espoir...
Toute sa vie elle s’est intéressée au « sens de la vie », elle s’est toujours posée mille questions sur notre capacité à avoir un impact sur nous-mêmes et le monde. Ce qui la choquait le plus était l’absurdité constatée, dans cette société privilégiant les intérêts financiers aux impératifs humains. Elle a illustré d’ailleurs ses propos dans une chanson intitulée « Yaguine et Fodé ».
Vous pourrez donc la retrouver avec plaisir, à nouveau présente et pleine d'enthousiasme, pour proposer à travers les concerts 2011, un moment de retrouvailles, et de sérénité ….. à l'écoute des mots et d'une musique qui parle à l'âme...
Pour plus de renseignements, ou une interview, vous pouvez lui laisser vos coordonnées via son adresse mail: chantaleden@yahoo.fr
Elle réside actuellement en Espagne.
Son Site Internet: http://www.chantaleden.com
DATES ET LIEUX DE CONCERTS en BELGIQUE:
Le vendredi 30 septembre 2011 à 20h à 7022 HYON
Salle « LE COLOMA » (Place de HYON) :

Renseignements et réservations : Marie-Claire DRAILY
TEL : 065 361248 ou 04/278 38 88
Le samedi 01 octobre à 20h à l'Eglise de LONCIN
Renseignements et réservations: Marie-Thérèse DARDENNE
TEL : 04/278 38 88 ou 0498/786 245
Coordonnées :
Marie-Thérèse: 04/2783888 ou 0498/ 786245
Bernadette: 081/ 856085 ou 0475/ 205428
Alain BILLEN (Chantal EDEN): 0474 / 917978
Merci pour l’attention que vous avez bien voulu accorder à ce communiqué, et bonne journée à vous.

dimanche 13 février 2011

LECTURE DE LA SEMAINE

Arnaud DESJARDINS, Regards sages sur un monde fou,
Editions de la Table Ronde, Paris, 1997.

Le « monde fou », c’est le nôtre, celui que nous avons créé et dans lequel, tant bien que mal, nous vivons. Monde de la violence et de l’exclusion, des sectes et des intégrismes, de la confusion des valeurs et de la surenchère médiatique, du libéralisme sans frein, de l’infantilisme, avec pour seule perspective la fuite en avant.
Hors de tout dogmatisme, Arnaud Desjardins a consacré sa vie à la quête du sens et à l’approfondissement des valeurs spirituelles. Ces « regards sages » lui ont été inspirés par ses nombreuses rencontres, en Europe et en Asie, avec des maîtres spirituels témoins de différentes traditions.

dimanche 6 février 2011

LA LECTURE DE LA SEMAINE



Albert JACQUARD, A toi qui n’es pas encore né(e), Calmann-Lévy, 198 p.
« Tu découvres cette lettre le jour de mon 100e anniversaire. Entre l’été 1999 où je l’ai écrite et l’instant où tu la lis, plus d’un quart de siècle s’est écoulé.
J’ai parcouru la plus grande partie du XXe siècle, tu vas parcourir le XXIe. A toi de jouer, à moi d’essayer de t’éclairer. Permets-moi ce monologue, qui me réinsère dans le flot des vivants. »

mardi 1 février 2011

DEUX LIVRES POUR PREPARER LA VENUE DE B. TIRTIAUX

DEUX LIVRES DE Bernard TIRTIAUX



B. TIRTIAUX, Le passeur de lumière, Nivard de Chassepierre maître verrier, Folio, n°2688.

Il s'agit de l'histoire d'un orfèvre et d'un maître verrier qui part de Huy et travaille à Chartres et à Saint-Denis au XIIe siècle.


B. TIRTIAUX, Pitié pour le mal, Livre de Poche, n°31029. 

Mutien est un voyageur dans l'âme, un grand marin. Il meurt et l'un de ses frères vide son appartement. Il se rappelle divers souvenirs relatifs à la vie de la famille durant la guerre. Il s'agit d'un roman initiatique.

mardi 25 janvier 2011

To shoot an elephant

Un film à voir sur le site et relatant la vie au quotidien des habitants de Gaza en Palestine.



Réalisé par Alberto Arce et Mohammed Rujailah, To Shoot an Elephant (1) est un film documentaire qui offre un témoignage sur les attaques d'Israël de l'hiver dernier dans la Bande de Gaza. Pendant les attaques, alors que l'armée israélienne interdisait aux journalistes étrangers d'entrer dans la Bande, Arce a réussi à rester à Gaza et a filmé comment les équipes médicales et les hôpitaux étaient pris pour cibles par les forces israéliennes alors qu'ils étaient en service.

Un jour après avoir reçu le Prix du Journalisme de la Fondation Anna-Lindh pour ses reportages du conflit dans ses articles sur Gaza publiés par le quotidien espagnol El Mundo, Arce a obtenu le prix du meilleur réalisateur au Festival du Film des Peuples à Florence le 7 novembre 2009.

Adri Nieuwhof a rencontré Arce et l'a interrogé sur ses motivations pour faire ce film.

Adri Nieuwhof : Pouvez-vous vous présenter et nous dire pourquoi vous avez voulu faire ce film ?

Alberto Arce : Je suis un journaliste espagnol âgé de 33 ans. Je suis inspiré par le soutien international que nous avons reçu dans notre lutte en 1936 (En juillet 1936, des généraux espagnols lancèrent une campagne militaire pour renverser le jeune gouvernement républicain élu démocratiquement). George Orwell a participé aux Brigades républicaines internationales et a, en même temps, fait des reportages sur notre guerre. J'essaye de suivre l'exemple d'Orwell. J'ai suivi pendant 5 ans les événements en Palestine et j'ai pris conscience du silence des médias à Gaza. Je voulais rendre compte du châtiment collectif subi par les gens à Gaza et j'ai décidé de rejoindre le bateau du Free Gaza Movement (qui a pris la mer pour Gaza) à la fin décembre 2008. Je voulais briser le mur de la censure.

AN : Est-ce que To Shoot an Elephant est votre premier film ?

AA : Non, c'est mon cinquième film. J'ai réalisé trois films sur la Palestine et un sur l'Irak. Tous ces films sont réalisés du point de vue de ce que des civils, locaux et internationaux, peuvent faire pendant une guerre. Nous, en tant que civils, devons faire tout ce qu'il est possible de faire pour arrêter une guerre. Un châtiment collectif des gens à Gaza n'est pas autorisé par la loi internationale. Je ne peux pas accepter qu'Israël interdise l'accès des journalistes à la bande de Gaza. Mon film traite aussi de la défense du droit à la liberté d'expression. Je voulais montrer les faits.

AN : Comment ont réagi les Palestiniens à Gaza en voyant votre caméra ?

AA : La situation à Gaza empire chaque jour. Vous ne pouvez pas imaginer le degré de souffrance. Les civils m'ont accueilli et étaient reconnaissants de ma présence parmi eux. Il y avait deux journalistes d'Al Jazeera et sept autres étrangers (écrivant sur les attaques) à Gaza pendant les lourdes attaques militaires. Vous savez, les civils dans les ambulances sont les véritables héros. Ils risquaient leurs vies chaque jour pour sauver des civils. L'un d'eux a été abattu (devant la caméra) par un tireur embusqué israélien (16 travailleurs médicaux urgentistes ont été tués pendant leur service).

AN : Qu'avez-vous ressenti en recevant le prix du meilleur réalisateur à Florence ?

AA : Je suis fier d'avoir reçu le prix pour le film que j'ai coréalisé avec Mohammed. Je crois que cela aidera à atteindre un large public. Après que j´ai reçu le prix, les gens me demandaient si j'étais content de ce prix. Mais je ne vais pas me sentir éternellement heureux au sujet du film. Les personnages du film sont des civils habitants de Gaza. Ils sont toujours piégés. Pendant les attaques militaires, j'étais un des leurs. La situation à Gaza doit changer et cela n'arrivera que si la pression internationale fait applique le respect de la loi internationale.

AN : Quelle a été la réaction du public à votre film ?

AA : Certaines personnes ont du quitter le cinéma avant la fin du film. Je suis peiné que ces gens n'aient pas pu affronter les faits. Les gens meurent à Gaza et je ne peux pas réveiller les morts. Les centaines d'enfants qui sont morts durant l'Opération Plomb Durci étaient des êtres humains. Ce n'est pas une question de statistiques. Le public, lors de la première mondiale à Florence, est resté silencieux à la fin du film. Je trouve que c'est frappant. Le film est cruel. Le but est de vous faire sentir que vous appartenez à cette réalité.

AN : Quel a été le moment le plus difficile ou le plus émouvant durant votre séjour à Gaza ?

AA : Le pire a été le premier jour. Après une journée de lourds bombardements, notre groupe de sept internationaux s'est vu proposer de quitter Gaza afin de sauver nos vies. Il nous a fallu trois minutes pour décider que nous voulions rester. A cet instant, je suis devenu Palestinien et je n'étais plus un international. Ce qui signifiait que nous devenions aussi victimes des bombardements, de la violence aveugle. Vous réalisez alors que c'est un hasard si vous êtes vivant. Je ne voulais pas être un héros mort, je voulais être un journaliste professionnel et un réalisateur vivant. Je ne peux pas décrire ce que c'est que de passer une nuit sous des bombardements lourds et de découvrir le lendemain, que vos voisins sont morts durant cette nuit. Ou ce que c'est que de se faire tirer dessus, et de voir que la personne en face de vous meurt et pas vous. Cette violence est ce que les Palestiniens vivent depuis 60 ans. Quelle aurait été ma vie si, à cinq ans, j'avais vu mes deux camarades de classe brûlés par le phosphore blanc ?
AN : Dans quelles villes sera projeté le film ?

AA : Vous trouverez les informations sur notre site Internet (http://www.toshootanelephant.com/). Le film va également jouer un rôle dans les séances du Tribunal Russell sur la Palestine. Je voudrais inviter les groupes de solidarité et les militants à participer à une séance gratuite mondiale du film le 18 janvier 2010, un an après le soi-disant "cessez-le-feu" à Gaza. Cette projection mondiale est organisée pour nous rappeler que la situation à Gaza n'a pas changé. Au contraire, elle empire. Si vous souhaitez vous joindre à la projection mondiale, vous pouvez me contacter via le site Internet.

(1) en référence au livre de George Orwell, Comment j’ai tué un éléphant, New Writing, n° 2, automne 1936.

Source : Tlaxcala
Traduction : Isabelle Rousselot

Lien de l'article: http://www.ism-france.org/news/article.php?id=13104&type=temoignage&lesujet=Interviews

dimanche 23 janvier 2011

A VOIR ACTUELLEMENT AU PLAZA


LE  QUATTRO  VOLTE, de Michele Frammartino

Ce film est une vision poétique des cycles de la vie, de la nature et des traditions demeurées intactes d’un lieu hors du temps. Un vieux berger vit ses derniers jours dans un paisible village médiéval perché dans les montagnes de Calabre, à l’extrême sud de l’Italie